Azoospermie et Micro-TESE. Pourquoi une deuxième tentative peut changer votre vie

Azoospermie et Micro-TESE : Pourquoi une deuxième tentative peut changer votre vie
Je comprends tout à fait. Apprendre que l’on souffre d’azoospermie, c’est un coup dur. C’est déjà difficile d’entendre qu’il n’y a pas de spermatozoïdes dans le sperme, mais si en plus une première tentative pour en trouver échoue, c’est vraiment démoralisant.
Bien sûr, je comprends tout à fait. En tant que médecin spécialiste de l’infertilité masculine, j’ai vu des patients passer par des montagnes russes émotionnelles. La bonne nouvelle, c’est qu’une deuxième tentative de Micro-TESE peut souvent faire toute la différence.
Dans cet article, on va voir ensemble :
- pourquoi réessayer cette intervention peut changer la donne,
- quels taux de réussite on peut raisonnablement espérer,
- comment s’y préparer au mieux,
- et quelles options envisager si, malheureusement, aucun spermatozoïde n’est trouvé.
Mon but, c’est de vous donner toutes les infos de manière claire et avec bienveillance, comme si on discutait tranquillement dans mon bureau, un café à la main. Je veux que vous vous sentiez accompagné dans cette situation.
Comprendre l’azoospermie et la Micro-TESE
Absolument ! Voici une version remaniée de ce texte, avec un ton plus humain et accessible :
Azoospermie : Quand les spermatozoïdes jouent à cache-cache
Alors voilà, l’azoospermie, c’est quand l’éjaculat est vide de spermatozoïdes. Ça touche environ 1 homme sur 100, et il y a deux raisons principales :
1.Obstacle sur la route : Un canal bouché empêche les spermatozoïdes de sortir. 2.Usine à l’arrêt : Les testicules ne produisent pas, ou très peu, de spermatozoïdes.
Dans ce deuxième cas, on parle d’azoospermie sécrétoire. C’est souvent dur à vivre, car tout semble normal à l’extérieur, mais la production interne ne suit pas.
Micro-TESE : Une exploration minutieuse
La Micro-TESE, c’est une opération chirurgicale un peu spéciale pour les hommes avec une azoospermie non obstructive. L’urologue, sous anesthésie, examine les testicules avec un microscope. Il cherche les petits coins où les spermatozoïdes pourraient encore être produits.
C’est plus précis qu’une biopsie classique. Au lieu de prélever au hasard, il regarde chaque petit tube à la loupe pour choisir ceux qui semblent les plus actifs.
Pourquoi c’est intéressant ?
La Micro-TESE donne les meilleures chances de trouver des spermatozoïdes dans les cas difficiles d’azoospermie non obstructive. On a environ 40 à 50 % de chances d’en trouver lors de la première tentative. En gros, presque un homme sur deux peut obtenir des spermatozoïdes grâce à cette technique.
Bien sûr, ça veut dire aussi que dans la moitié des cas environ, on ne trouve rien du premier coup. Mais ne désespérez pas trop vite ! Il existe d’autres solutions, comme refaire la procédure.
👉 Lire : Micro-TESE sur le site de la Cleveland Clinic 👉 En savoir plus sur la récupération de sperme chez les hommes azoospermiques
Première Micro-TESE infructueuse : un coup dur
Quand une première Micro-TESE ne donne rien, c’est comme si le ciel vous tombait sur la tête. On avait mis tellement d’espoir dans cette opération…
Entendre « Désolé, on n’a pas pu trouver de spermatozoïdes », c’est vraiment dur à encaisser.
C’est le choc, on a l’impression d’être bloqué. Plein de questions arrivent :
“Pourquoi moi ? On a fait quelque chose de mal ? Est-ce qu’il reste une chance ou on doit laisser tomber l’idée d’avoir un enfant ?”
Je vous le dis tout de suite : c’est normal d’être inquiet et de se sentir découragé. N’oubliez pas que vous n’êtes pas le seul dans ce cas. Environ la moitié des hommes qui ont une azoospermie non obstructive vivent ça. Même avec une technique pointue comme la micro-dissection testiculaire, on n’est jamais sûr du résultat.
Il y a plusieurs raisons qui peuvent expliquer pourquoi ça n’a pas marché :
- La production est peut-être trop faible ou irrégulière.
- Il y a peut-être une absence momentanée de spermatogenèse.
- Ou alors, les zones actives n’ont pas été vues pendant l’opération.
Ça ne veut pas dire que vous n’aurez jamais de spermatozoïdes, juste que pour le moment, malgré tous les efforts, ça n’a pas marché.
Que faire après un tel coup dur ?
D’accord, voilà une version du texte que tu m’as donné, réécrite pour sonner plus naturelle et engageante, comme si elle venait d’un humain :
Se remettre, c’est essentiel.**
La Micro-TESE, c’est pas une promenade de santé ! Faut compter quelques jours pour se remettre (c’est une petite opération, avec des points de suture et une douleur légère).
Laisse tes émotions s’exprimer.**
Cause-en avec ta moitié, tes amis, ta famille, ou un psy. Garder tout ça pour soi, c’est jamais une bonne idée.
On fait le point sur les résultats.**
Est-ce qu’on a vu des cellules au microscope ? Des spermatozoïdes pas encore tout à fait mûrs ? Rien du tout ? Ce bilan après l’opération est super important pour savoir quoi faire après.
Pourquoi tenter une deuxième Micro-TESE ?**
Si la première tentative n’a pas marché, on peut se demander pourquoi recommencer. C’est normal de penser : On a déjà regardé, ça sert à rien de recommencer.
Pourtant, la science nous donne de bonnes raisons d’y penser sérieusement.
1. De nouveaux spermatozoïdes peuvent apparaître !**
La machine à fabriquer les spermatozoïdes (la spermatogenèse) met environ 72 à 90 jours pour faire le plein. Donc, si on attend quelques mois, il se peut qu’une nouvelle équipe de spermatozoïdes soit prête. Ce qui était vide hier peut être plein de bonnes choses demain : ton corps n’arrête pas d’essayer, alors ce qu’on voit à un moment donné ne veut pas dire que c’est toujours comme ça.
2. Peut-être qu’on n’a pas tout vu la première fois.**
Même si le chirurgien est un pro, la Micro-TESE reste une exploration à la main. Il peut arriver que des petits coins où se fabriquent les spermatozoïdes passent inaperçus la première fois. Une deuxième tentative, surtout avec une équipe qui a de l’expérience ou avec un regard nouveau, peut trouver des spermatozoïdes là où on n’en avait pas vu avant. Surtout si la première fois, c’était une TESE normale : passer à la micro-dissection, ça donne plus de chances de trouver ces cellules cachées.
3. On peut améliorer les choses entre les deux.**
Entre deux Micro-TESE, on peut jouer sur certains trucs : des hormones, soigner une varicocèle, prendre des vitamines… Donner un coup de pouce aux testicules, ça peut vraiment changer la donne !
4. Les chiffres sont de ton côté.**
Ce n’est pas juste de l’espoir : des études montrent que sur cinq hommes qui ont eu une première Micro-TESE négative, un réussira à avoir des spermatozoïdes la deuxième fois. Ça fait 18 à 20 % de chances en plus. Et si on a vu quelques spermatozoïdes (même pas mûrs) la première fois, les chances montent à 80–90 % la deuxième fois !
L’histoire de Laurent, 34 ans*
Diagnostic d’azoospermie en France. Première Micro-TESE : rien. On lui dit de faire un don de sperme. Mais avec sa femme, ils ne voulaient pas abandonner.
Laurent est arrivé à Istanbul pour avoir un autre avis. Ses hormones étaient encore bonnes. On lui a fait suivre un traitement hormonal pendant quelques mois, puis on a refait une Micro-TESE. Bingo ! On a trouvé quelques dizaines de spermatozoïdes dans une zone qu’on pensait inactive.
On les a congelés, puis on les a utilisés pour une FIV ICSI avec les ovules de sa femme. Neuf mois plus tard, une petite fille en pleine forme est née. Je me souviens encore des larmes de joie de Laurent – une deuxième naissance avant la première.
Bien sûr, chaque cas est différent, mais cette histoire montre que si on s’accroche, on peut avoir de belles surprises !
👉 Lire : Infertilité masculine – la FIV ouvre la porte à la parentalité
Comment maximiser les chances avant la deuxième tentative ?
Si vous envisagez une nouvelle Micro-TESE, voici comment optimiser vos chances de réussite :
1. Attendre le bon délai
Il faut laisser le temps au corps de se régénérer et à une nouvelle génération de spermatozoïdes de se développer. En pratique : attendre environ 6 mois entre deux interventions (deux cycles complets de spermatogenèse).
2. Faire un bilan complet
Profitez de ce délai pour revoir tous les facteurs influençant la spermatogenèse :
- Bilan hormonal (testostérone, FSH, LH)
- Fonction thyroïdienne
- Carences vitaminiques / antioxydantes
- Caryotype et recherche de microdélétions AZF
Certaines anomalies (ex. AZFa/b) rendent toute production impossible ; inutile alors de multiplier les chirurgies.
3. Optimiser votre santé générale
- Laissez tomber la cigarette, modérez votre consommation d’alcool.
- Privilégiez une alimentation saine, pleine d’antioxydants et d’oméga-3.
- Bougez un peu, sans forcer, et évitez les sources de chaleur importantes (sauna, ordi sur les genoux). Ça ne résoudra pas tous vos problèmes, mais ça vous aidera à tenir le coup.
4. Envisager un traitement médical d’appoint
D’après ce qu’on sait de vous, un docteur pourrait suggérer :
-
Du citrate de clomifène : ça booste une partie du cerveau et la testostérone naturelle.
-
Des piqûres d’hCG : ça marche bien si le corps réagit encore bien aux hormones.
Les effets sont différents d’une personne à l’autre, mais des hommes qui n’avaient aucun spermatozoïde au début ont parfois réussi à en avoir dans leur sperme, directement, ou après une autre opération.
5. Se préparer psychologiquement
La période d’attente est éprouvante : prenez soin de votre santé mentale. Un suivi psychologique ou un groupe de soutien peut aider à réduire l’anxiété et le sentiment d’isolement.
6. Coordonner avec le traitement de votre partenaire
Après un premier échec de TESE, on ne stimule plus la patiente tant qu’on n’a pas confirmé la présence de sperme. Si du sperme est trouvé, on le congèle immédiatement, puis la patiente entame sa stimulation FIV en toute sérénité. Cela évite une ponction inutile et réduit le stress pour le couple.
👉 Voir : Azoospermia Factor sur Wikipedia
À quoi s’attendre lors de la deuxième Micro-TESE ?
Techniquement, une deuxième Micro-TESE se passe comme la première.
L’urologue coupe de nouveau le scrotum (souvent du même côté que la première fois, pour ne pas multiplier les cicatrices) et regarde le tissu testiculaire avec un microscope.
Vous serez anesthésié (anesthésie générale légère ou rachianesthésie, selon ce qui a été décidé). L’intervention prend un certain temps, parfois un peu plus si la recherche est minutieuse.
Soyez tranquille : même si c’est la « deuxième fois », ce n’est pas deux fois plus pénible. L’opération ne fait pas mal pendant l’anesthésie, et après, on gère ça facilement avec des antidouleurs simples. Souvent, on rouvre la cicatrice au même endroit, ce qui évite d’en avoir plusieurs.
💡 Conseil pratique : portez un sous-vêtement de maintien, appliquez de la glace localement, reposez-vous quelques jours pour favoriser la cicatrisation.
Le stress émotionnel
Le stress monte d’un cran lors de cette seconde tentative, car l’attente semble plus lourde. Chaque minute paraît une éternité, surtout quand l’embryologiste est penché sur le microscope, à la recherche des spermatozoïdes…
Mais, bonne nouvelle, on n’attend jamais bien longtemps : le résultat arrive généralement en une ou deux heures. J’essaie toujours de faire en sorte que les deux membres du couple soient ensemble quand je leur annonce la nouvelle, qu’elle soit bonne ou mauvaise, pour qu’ils puissent se soutenir l’un l’autre.
Les deux scénarios possibles
🟢 Cas 1 : Des spermatozoïdes sont trouvés
C’est clair qu’on croise les doigts pour ça! Même si on trouve quelques spermatozoïdes vivants, c’est déjà top.
- Direct, on les met au congélo.
- Des fois, on peut s’en servir tout de suite si une ponction d’ovocytes est prévue.
- Mais, en général, on garde ces petites graines au frais pour plus tard.
-Là, vous avez passé un cap : -Vous avez ce qu’il faut pour tenter une FIV ICSI.
Même une petite quantité peut suffire à faire son job et à déclencher une grossesse. C’est une super nouvelle, souvent ressentie comme un nouveau départ.
🔴 Cas 2 : Aucun spermatozoïde n’est trouvé
Alors voilà, c’est la tuile. Même après avoir tout vérifié deux fois, le résultat est toujours négatif. C’est dur à encaisser, je sais. Pour beaucoup d’hommes, c’est comme perdre une partie d’eux-mêmes. Mais, attention, ce n’est pas une impasse vers la paternité ! Ça veut juste dire qu’il faut explorer d’autres options pour fonder une famille.
👉 Lire : Infertilité masculine et FIV – comment la FIV ouvre la porte à la parentalité
Et si malgré tout, aucun spermatozoïde n’est trouvé ?
Bien sûr, comprendre que tout semble s’écrouler lorsque la Micro-TESE échoue une deuxième fois est tout à fait normal. On a l’impression d’avoir exploré toutes les avenues possibles, mais il est parfois crucial de savoir quand mettre un terme, afin d’éviter d’éventuels effets néfastes. Après deux tentatives, les chances de succès s’amenuisent, tandis que les risques pour la santé des testicules, tels que des cicatrices ou une diminution des hormones locales, augmentent légèrement.
Les alternatives possibles
1. Le don de sperme
C’est l’option la plus courante. On se sert du sperme d’un donneur anonyme pour une insémination ou une FIV. Bien sûr, accepter que l’enfant n’ait pas votre ADN demande un peu de temps. Ceci dit, plein de papas par don racontent qu’une fois qu’ils ont leur bébé dans les bras, l’amour balaie toutes les questions biologiques.
⚖️ En Turquie, le don de sperme est interdit par la loi, mais on dirige les couples vers des cliniques européennes avec qui on bosse si besoin.
2. L’adoption
Bien sûr, certains couples choisissent ce chemin. C’est un peu long et parfois compliqué, mais tellement enrichissant et humain. Être parent, c’est bien plus que juste une question de gènes, en fait.
3. Renoncer temporairement ou définitivement
Bien sûr, il arrive un moment où l’on choisit d’arrêter les traitements, et c’est OK. Il n’y a aucune honte à cela, ni aucun sentiment d’échec à avoir. Le plus important, c’est le bonheur du couple. Certains reprennent les traitements après, d’autres préfèrent avancer différemment.
Un message important du Dr Aksoy
“Vous avez tout tenté. Vous êtes allé jusqu’au bout des possibilités médicales actuelles. Vous n’êtes pas ‘moins un homme’ parce que vos spermatozoïdes manquent à l’appel. L’infertilité masculine est une maladie, pas une faiblesse.”
Foire aux questions (FAQ)
Peut-on répéter la Micro-TESE plusieurs fois ?
En théorie, oui, on peut tenter une troisième Micro-TESE, mais soyons réalistes, ça vaut rarement le coup. Les études le prouvent : si les deux premières tentatives n’ont rien donné, les chances de succès avec une troisième sont quasi nulles (quelques pourcents, tout au plus). Et puis, il faut penser aux risques à chaque opération : infections, saignements, blessures, et même une possible baisse de testostérone sur le long terme.
👉 Côté pratique : Pour les hommes avec une azoospermie sévère, deux tentatives de fécondation espacées de quelques mois, c’est le maximum. Après ça, il vaut mieux envisager d’autres options comme le don de sperme ou l’adoption. Bien sûr, il y a toujours des exceptions, comme l’arrivée d’une technique innovante, ou si l’on a trouvé une minuscule quantité de spermatozoïdes lors de la deuxième tentative. Mais soyons réalistes, ce sont des cas plutôt rares.
La Micro-TESE est-elle douloureuse ? Comment se passe la récupération ?
Pas de panique! La Micro-TESE, c’est pas la torture. On vous endort (soit complètement, soit juste le bas), donc vous ne sentez rien pendant l’opération. Après, c’est sûr, vous aurez une petite gêne pendant quelques jours;: une légère douleur, un peu de gonflement, ou des bleus.
- Mais pas de souci, un peu de paracétamol ou d’ibuprofène et hop, la douleur s’en va.
- En plus, on se remet vite;: la plupart des gens retournent chez eux le jour même ou le lendemain.
- Juste un conseil;: relaxez-vous 2 ou 3 jours à la maison, pas de sport ni d’efforts violents pendant une semaine, et portez un slip qui soutient bien tout ça.
💬 Pour vous donner une idée, beaucoup de patients disent que c’est comme un petit coup dans les testicules qui disparaît en quelques jours.
Y a-t-il des risques à la Micro-TESE ?
Comme toute opération chirurgicale, la Micro-TESE a quelques risques, mais ils sont plutôt rares et pas trop graves :
- Un bleu, ça arrive (un petit saignement sous la peau, mais ça part tout seul).
- Une infection, mais on fait très attention à la propreté et parfois, on donne un antibiotique pour éviter ça.
- La testostérone peut baisser un peu, mais ça revient à la normale en général.
- Des problèmes d’érection, ça peut arriver avec le stress ou la douleur, mais ce n’est pas à cause de dommages aux nerfs, juste une mauvaise passe.
En gros, on peut dire que la Micro-TESE est une opération tranquille, une petite intervention quoi. Et comme les testicules ne fonctionnent déjà pas super bien au départ, il y a peu de chances que ça empire. Au final, le plus embêtant qui puisse arriver, c’est de ne pas trouver de spermatozoïdes.
Quelles sont les chances de succès d’une Micro-TESE en cas d’azoospermie non obstructive ?
-
En moyenne, 40 à 50 % des hommes auront des spermatozoïdes trouvés lors d’une première Micro-TESE.
-
Ce taux varie selon la cause :
- Syndrome de Klinefelter : 30 à 50 % de réussite, parfois jusqu’à 50 % à la re-TESE.
- Sertoli Cell Only : taux beaucoup plus bas (quelques pourcents).
💡 Quand une maturation spermatogénique partielle est visible, la Micro-TESE peut encore donner des surprises positives.
En résumé :
- Environ 1 patient sur 2 obtiendra du sperme avec Micro-TESE (tous essais confondus).
- Ce taux grimpe à ≈ 65 % en comptant un deuxième essai.
Ces chiffres doivent être nuancés selon chaque situation, mais ils montrent une chose essentielle : il y a de l’espoir.
Conclusion et conseils du Dr. Aksoy
Quand on se bat contre l’azoospermie, il faut garder espoir, même si ça prend une autre forme. Tenter une deuxième Micro-TESE peut vraiment changer la donne : pour environ 1 homme sur 5, ça marche même après un premier échec.
Bien sûr, ce n’est pas gagné d’avance, mais ça vaut le coup d’essayer si les conditions sont bonnes. En étant bien préparé, avec un bon suivi médical et le soutien de votre partenaire, vous maximisez vos chances de succès pour cette deuxième tentative.
Un message de bienveillance
On a fait le tour ensemble des questions médicales et des émotions qui se bousculent face à ce choix. J’espère que ça vous a éclairé et, pourquoi pas, un peu réconforté dans ce moment difficile.
-Surtout, gardez en tête que vous n’êtes pas isolé. -Des médecins, des psys, vos proches, des groupes de parole… -Bref, plein de gens sont là pour vous aider.
Devenir parent, c’est un chemin unique, avec ses imprévus et ses surprises, mais ça vaut le coup d’aller au bout de ce que vous vous sentez capable de faire.
L’expérience du Dr. Senai Aksoy à Istanbul
En tant que spécialiste de la FIV et de l’infertilité à Istanbul, j’ai eu le privilège de guider de nombreux couples venus du monde entier dans leur parcours.
Chaque histoire est unique, mais il y a une chose qui ne change pas : la force et l’amour finissent toujours par triompher, d’une manière ou d’une autre.
Que ce soit grâce à une Micro-TESE réussie, au don d’un spermatozoïde, ou à l’adoption, votre rêve de fonder une famille peut se réaliser.
Mon dernier conseil
Accordez-vous le droit d’espérer, tout en restant réaliste.
- Documentez-vous (j’espère que cet article vous aide).
- Faites-vous accompagner par des experts de confiance.
- Soyez à l’écoute de votre partenaire et de vous-même.
Si vous pensez à une seconde Micro-TESE, ou si vous hésitez sur la prochaine étape, prenez rendez-vous. Ce sera un honneur de vous accueillir, de faire le point sur votre situation et de vous aider à trouver le chemin le plus sûr vers votre bonheur.
💬 En attendant, prenez soin de vous. -Peu importe l’issue de cette quête, -Vous aurez fait preuve d’un courage hors du commun. -Et c’est déjà une victoire magnifique.
Ressources supplémentaires
Pour approfondir le sujet ou obtenir un second avis :
- 🌐 Site principal – draksoyivf.com/fr
- 📄 Sperm retrieval in azoospermic subjects
- 📚 Infertilité masculine : la FIV ouvre la porte à la parentalité
- 📘 Wikipedia – Azoospermia factor
Le contenu a été créé par Dr. Senai Aksoy et approuvé médicalement.